Les Artisanales, le rendez-vous immanquable des artisans !
L’Agglo sera de nouveau présente aux Artisanales de Chartres. Le plus grand salon de France consacré à l’artisanat est une véritable vitrine des savoir-faire et une belle occasion de mettre en lumière notre territoire d’expériences. Il va y avoir du sport est le thème de cette nouvelle édition, organisée en pleine Coupe du monde de Rugby ! Rencontre en avant-première avec l’un de ceux qui seront nos ambassadeurs, du 6 au 9 octobre, à Chartres.
Thomas Ramos, enseigniste à Saint-Rémy-sur-Avre
Thomas Ramos est passionné depuis son plus jeune âge par le dessin. Le hasard le mène vers des études de carrossier-peintre et lorsqu’il découvre l’aérographie, il tombe littéralement amoureux de cette technique. Elle consiste à projeter, en utilisant de l’air comprimé, de l’encre ou de la peinture sur le support choisi.
L’artiste laisse alors libre cours à sa créativité et décore de nombreux camions, poids-lourds, jet-ski, lorsqu’il créé sa société Titos Paint en 2009. Et il s’agit bien d’artisanat, mais d’artisanat artistique.
Quelques années plus tard, quel chemin parcouru ! Agile, le patron est attentif à l’évolution des besoins et des technologies. Il se spécialise et se perfectionne dans les techniques de communication utilisant l’adhésif. La décoration extérieure des véhicules passe désormais par ce procédé. Les idées ne manquent pas pour se diversifier et pour faire évoluer sa société.
Thomas Ramos se renseigne sur des techniques américaines de marquage encore inconnues en France. Audacieux, il est en avance sur son temps et cela fonctionne.
Aujourd’hui, Titos Paint c’est 14 salariés qui vous accompagnent de A à Z, quel que soit votre projet, pour tous vos besoins en communication : de la création de votre logo, en passant par votre support imprimé, votre enseigne, vos textiles publicitaires, vos goodies, ces objets publicitaires marqués au nom de votre entreprise, à offrir à vos clients.
Très sociable et le contact facile, Thomas Ramos a un besoin de transmettre son savoir-faire et souhaite faire tomber les barrières de ce métier qui souffre d’une image trop « technique ». Il veut véhiculer l’idée qu’une reconversion dans ce domaine est possible. Après un temps qu’il qualifie lui-même de « flottement » d’une durée d’environ quatre mois, la personne motivée peut avoir entre les mains toutes les connaissances techniques nécessaires pour mettre en œuvre ce métier de passion.
Avec le recul, l’entrepreneur dit ne pas avoir manqué de courage et cherche à toujours faire mieux, une vraie motivation offerte par l’entrepreneuriat. Mais à une condition : « Le confort, le mien mais aussi celui de mon équipe, prime avant tout le reste. J’ai voulu développer mon entreprise dans le respect des normes environnementales et je suis très soucieux du bien-être au travail, deux sujets qui me tiennent à cœur et qui sont non négociables. »